TERBINAFINE RANBAXY 250 mg, comprimé sécable, boîte de 28
Retiré du marché le : 21/03/2011
Dernière révision : 11/04/2007
Taux de TVA : 2.1%
Prix de vente : 16,71 €
Taux remboursement SS : 65%
Base remboursement SS : 16,71 €
Laboratoire exploitant : RPG-RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES
- Onychomycoses.
- Dermatophyties cutanées (notamment dermatophytie de la peau glabre, kératodermie palmoplantaire, intertrigo interdigito-plantaire).
- Candidoses cutanées,
lorsque ces 2 dernières infections ne peuvent être traitées localement du fait de l'étendue des lésions ou de la résistance aux traitements antifongiques habituels.
- La terbinafine administrée per os est inefficace dans le Pityriasis versicolor et les candidoses vaginales.
- Dermatophyties cutanées (notamment dermatophytie de la peau glabre, kératodermie palmoplantaire, intertrigo interdigito-plantaire).
- Candidoses cutanées,
lorsque ces 2 dernières infections ne peuvent être traitées localement du fait de l'étendue des lésions ou de la résistance aux traitements antifongiques habituels.
- La terbinafine administrée per os est inefficace dans le Pityriasis versicolor et les candidoses vaginales.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament est contre-indiqué dans les cas suivants :
- Hypersensibilité connue à la terbinafine ou à l'un des excipients.
- Insuffisance hépatique sévère.
- Insuffisance rénale sévère.
DECONSEILLE :
- Ce médicament est déconseillé pendant l'allaitement : la terbinafine est excrétée dans le lait maternel et l'utilisation de ce produit est déconseillée pendant l'allaitement.
- Enfants : en l'absence d'études spécifiques, l'utilisation de la terbinafine par voie orale n'est pas recommandée.
Ce médicament est contre-indiqué dans les cas suivants :
- Hypersensibilité connue à la terbinafine ou à l'un des excipients.
- Insuffisance hépatique sévère.
- Insuffisance rénale sévère.
DECONSEILLE :
- Ce médicament est déconseillé pendant l'allaitement : la terbinafine est excrétée dans le lait maternel et l'utilisation de ce produit est déconseillée pendant l'allaitement.
- Enfants : en l'absence d'études spécifiques, l'utilisation de la terbinafine par voie orale n'est pas recommandée.
MISES EN GARDE :
- La terbinafine n'est pas recommandée chez les patients présentant une maladie hépatique chronique ou active.
Dans l'éventualité où les bénéfices attendus sont supérieurs aux risques encourus, initier le traitement à dose plus faible en cas d'insuffisance hépatique.
Avant d'instaurer un traitement par la terbinafine, il convient de rechercher une éventuelle pathologie hépatique. Une atteinte hépatique peut survenir chez des patients avec ou sans maladie hépatique préexistante.
- La survenue, en début de traitement, d'un érythème généralisé fébrile associé à des pustules, doit faire suspecter une pustulose exanthématique généralisée (voir rubrique effets indésirables) ; elle impose l'arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle administration.
- Il convient donc avant toute institution du traitement, d'informer clairement le patient de la nécessité d'arrêter immédiatement le traitement et de consulter le plus rapidement possible un médecin ou un service d'urgences en cas de survenue de symptômes tels que : fièvre, angine ou autre infection, atteinte cutanée rapidement extensive, disséminée ou touchant les muqueuses, prurit, asthénie importante, urines foncées, selles décolorées, ictère.
- Altération de la fonction rénale : commencer le traitement à dose plus faible en raison de la modification de la vitesse d'élimination du produit.
- Enfants : en l'absence d'études spécifiques, l'utilisation de la terbinafine par voie orale n'est pas recommandée.
- Dans de rares cas, ce médicament peut provoquer une altération ou perte réversible du goût ; le traitement par la terbinafine est déconseillé chez les personnes utilisant leurs facultés gustatives à des fins professionnelles (voir rubrique effets indésirables).
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Grossesse : les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la terbinafine lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse.
- Associations faisant l'objet de précautions d'emploi : rifampicine ; propafénone, flécaïnide, métoprolol (dans l'insuffisance cardiaque).
- La terbinafine n'est pas recommandée chez les patients présentant une maladie hépatique chronique ou active.
Dans l'éventualité où les bénéfices attendus sont supérieurs aux risques encourus, initier le traitement à dose plus faible en cas d'insuffisance hépatique.
Avant d'instaurer un traitement par la terbinafine, il convient de rechercher une éventuelle pathologie hépatique. Une atteinte hépatique peut survenir chez des patients avec ou sans maladie hépatique préexistante.
- La survenue, en début de traitement, d'un érythème généralisé fébrile associé à des pustules, doit faire suspecter une pustulose exanthématique généralisée (voir rubrique effets indésirables) ; elle impose l'arrêt du traitement et contre-indique toute nouvelle administration.
- Il convient donc avant toute institution du traitement, d'informer clairement le patient de la nécessité d'arrêter immédiatement le traitement et de consulter le plus rapidement possible un médecin ou un service d'urgences en cas de survenue de symptômes tels que : fièvre, angine ou autre infection, atteinte cutanée rapidement extensive, disséminée ou touchant les muqueuses, prurit, asthénie importante, urines foncées, selles décolorées, ictère.
- Altération de la fonction rénale : commencer le traitement à dose plus faible en raison de la modification de la vitesse d'élimination du produit.
- Enfants : en l'absence d'études spécifiques, l'utilisation de la terbinafine par voie orale n'est pas recommandée.
- Dans de rares cas, ce médicament peut provoquer une altération ou perte réversible du goût ; le traitement par la terbinafine est déconseillé chez les personnes utilisant leurs facultés gustatives à des fins professionnelles (voir rubrique effets indésirables).
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Grossesse : les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la terbinafine lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse.
- Associations faisant l'objet de précautions d'emploi : rifampicine ; propafénone, flécaïnide, métoprolol (dans l'insuffisance cardiaque).
Estimation de la fréquence : très fréquent > = 10%, fréquent > = 1% à < 10%, peu fréquent > = 0,1% à < 1%, rare > = 0,01% à < 0,1%, très rare < 0,01%.
- Les effets indésirables les plus fréquents sont des troubles digestifs (perte de l'appétit, nausées, douleurs abdominales, diarrhées), ainsi que des réactions cutanées (éruptions, urticaire) sans caractère de gravité.
- Chez moins de 1% des patients, la terbinafine peut entraîner des altérations ou des pertes partielles ou totales du goût (en particulier chez les femmes âgées, maigres), habituellement réversibles plusieurs mois après l'arrêt du traitement.
- Rarement, une perte de poids a été associée.
- Rarement, ont été rapportées en cours de traitement :
. Des arthralgies et des myalgies.
. Des hépatites de type mixte à prédominance cholestatique. De très rares cas d'hépatites prolongées et de très rares cas d'insuffisance hépatique grave ont été rapportés, certains ayant pu conduire exceptionnellement à une transplantation hépatique ou un décès. Dans la majorité de ces cas, les patients présentaient des affections sous-jacentes graves.
- Très rarement, ont été rapportés en cours de traitement :
. Des cas de neutropénie, d'agranulocytose et des cas isolés de thrombopénie.
. Des cas de réactions cutanées graves (urticaires étendues et angio-oedèmes, éruptions pustuleuses, éruptions bulleuses, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell).
. Des cas de pustulose exanthématique aiguë généralisée (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi/Mises en garde).
- Les effets indésirables les plus fréquents sont des troubles digestifs (perte de l'appétit, nausées, douleurs abdominales, diarrhées), ainsi que des réactions cutanées (éruptions, urticaire) sans caractère de gravité.
- Chez moins de 1% des patients, la terbinafine peut entraîner des altérations ou des pertes partielles ou totales du goût (en particulier chez les femmes âgées, maigres), habituellement réversibles plusieurs mois après l'arrêt du traitement.
- Rarement, une perte de poids a été associée.
- Rarement, ont été rapportées en cours de traitement :
. Des arthralgies et des myalgies.
. Des hépatites de type mixte à prédominance cholestatique. De très rares cas d'hépatites prolongées et de très rares cas d'insuffisance hépatique grave ont été rapportés, certains ayant pu conduire exceptionnellement à une transplantation hépatique ou un décès. Dans la majorité de ces cas, les patients présentaient des affections sous-jacentes graves.
- Très rarement, ont été rapportés en cours de traitement :
. Des cas de neutropénie, d'agranulocytose et des cas isolés de thrombopénie.
. Des cas de réactions cutanées graves (urticaires étendues et angio-oedèmes, éruptions pustuleuses, éruptions bulleuses, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell).
. Des cas de pustulose exanthématique aiguë généralisée (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi/Mises en garde).
INFORMER LE PATIENT de la nécessité d'arrêter immédiatement le traitement et de consulter le plus rapidement possible un médecin ou un service d'urgences en cas de survenue de symptômes tels que : fièvre, angine ou autre infection, atteinte cutanée rapidement extensive, disséminée ou touchant les muqueuses, prurit, asthénie importante, urines foncées, selles décolorées, ictère.
ARRET DU TRAITEMENT ET CONSULTER IMMEDIATEMENT LE MEDECIN OU UN SERVICE D'URGENCE en cas :
- d'éruption de pustules blanchâtres caractérisée par la survenue brutale d'un érythème associé à une fièvre,
- d'éruption cutanée rapidement extensive, disséminée ou touchant les muqueuses,
- d'allergie de type plus général, de prurit (démangeaison),
- de fièvre, d'angine ou autre infection, de fatigue importante, d'urines foncées, de selles décolorées, d'ictère (jaunisse).
EVITER en cas d'utilisation du goût à des fins professionnelles en raison de l'altération ou de la perte du goût provoqués par ce médicament.
- d'éruption de pustules blanchâtres caractérisée par la survenue brutale d'un érythème associé à une fièvre,
- d'éruption cutanée rapidement extensive, disséminée ou touchant les muqueuses,
- d'allergie de type plus général, de prurit (démangeaison),
- de fièvre, d'angine ou autre infection, de fatigue importante, d'urines foncées, de selles décolorées, d'ictère (jaunisse).
EVITER en cas d'utilisation du goût à des fins professionnelles en raison de l'altération ou de la perte du goût provoqués par ce médicament.
Grossesse :
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu.
En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la terbinafine lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse.
Allaitement :
La terbinafine est excrétée dans le lait maternel et l'utilisation de ce produit est déconseillée pendant l'allaitement.
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu.
En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la terbinafine lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament pendant la grossesse.
Allaitement :
La terbinafine est excrétée dans le lait maternel et l'utilisation de ce produit est déconseillée pendant l'allaitement.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Rifampicine :
Diminution des taux plasmatiques de terbinafine par augmentation de sa clairance plasmatique.
- Des données in vitro et les résultats d'une étude in vivo ont montré que la terbinafine est un inhibiteur du CYP 2D6. Ces données peuvent avoir des conséquences sur le plan clinique. Pour les médicaments principalement métabolisés par cette iso-enzyme et ayant une marge thérapeutique étroite à savoir la propafénone, le flécaïnide et le métoprolol (lorsqu'il est donné dans l'insuffisance cardiaque), leur taux sérique tend à être augmenté et une adaptation posologique peut être nécessaire (voir rubrique composition).
- Rifampicine :
Diminution des taux plasmatiques de terbinafine par augmentation de sa clairance plasmatique.
- Des données in vitro et les résultats d'une étude in vivo ont montré que la terbinafine est un inhibiteur du CYP 2D6. Ces données peuvent avoir des conséquences sur le plan clinique. Pour les médicaments principalement métabolisés par cette iso-enzyme et ayant une marge thérapeutique étroite à savoir la propafénone, le flécaïnide et le métoprolol (lorsqu'il est donné dans l'insuffisance cardiaque), leur taux sérique tend à être augmenté et une adaptation posologique peut être nécessaire (voir rubrique composition).
- Un comprimé par jour de préférence au cours du repas.
- La durée du traitement dépend du type et de la localisation de l'infection :
Localisation : Durée du traitement.
. Onychomycoses : 6 semaines à 3 mois pour les ongles des mains ; 3 à 6 mois pour les ongles des pieds.
Chez certains patients, des durées de traitement plus longues peuvent être nécessaires.
. Dermatophyties de la peau glabre, candidoses cutanées : 2 à 4 semaines.
. Intertrigo interdigito-plantaire, kératodermies palmoplantaires : 2 à 6 semaines.
- La durée du traitement dépend du type et de la localisation de l'infection :
Localisation : Durée du traitement.
. Onychomycoses : 6 semaines à 3 mois pour les ongles des mains ; 3 à 6 mois pour les ongles des pieds.
Chez certains patients, des durées de traitement plus longues peuvent être nécessaires.
. Dermatophyties de la peau glabre, candidoses cutanées : 2 à 4 semaines.
. Intertrigo interdigito-plantaire, kératodermies palmoplantaires : 2 à 6 semaines.
Durée de conservation :
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas + 25°C.
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas + 25°C.
Sans objet.
- Quelques cas de surdosage (jusqu'à 5 g) ont été rapportés, entraînant des céphalées, des nausées, des douleurs épigastriques et des vertiges.
- Le traitement recommandé du surdosage consiste en une élimination du produit, une administration éventuelle de charbon actif, et un traitement symptomatique si nécessaire.
- Le traitement recommandé du surdosage consiste en une élimination du produit, une administration éventuelle de charbon actif, et un traitement symptomatique si nécessaire.
Classe pharmacothérapeutique : ANTIFONGIQUES A USAGE SYSTEMIQUE,
Code ATC : D01BA2.
- La terbinafine est un antifongique à large spectre, appartenant à la classe des allylamines.
- La terbinafine est active sur les dermatophytes (Trichophyton, Microsporum, Epidermophyton), sur les levures (Candida, Pityrosporum), sur certains champignons filamenteux et certains champignons dimorphes. Elle empêche la biosynthèse de l'ergostérol, constituant essentiel de la membrane cellulaire du champignon, par inhibition spécifique de la squalène époxydase.
- L'accumulation intracellulaire de squalène serait responsable de son action fongicide.
- La terbinafine ne modifie pas le métabolisme des hormones et des autres médicaments (l'enzyme squalène époxydase n'étant pas lié au système cytochrome P450).
Code ATC : D01BA2.
- La terbinafine est un antifongique à large spectre, appartenant à la classe des allylamines.
- La terbinafine est active sur les dermatophytes (Trichophyton, Microsporum, Epidermophyton), sur les levures (Candida, Pityrosporum), sur certains champignons filamenteux et certains champignons dimorphes. Elle empêche la biosynthèse de l'ergostérol, constituant essentiel de la membrane cellulaire du champignon, par inhibition spécifique de la squalène époxydase.
- L'accumulation intracellulaire de squalène serait responsable de son action fongicide.
- La terbinafine ne modifie pas le métabolisme des hormones et des autres médicaments (l'enzyme squalène époxydase n'étant pas lié au système cytochrome P450).
- L'absorption du produit est supérieure à 70%. Après administration d'un comprimé dosé à 250 mg, la concentration plasmatique maximale (1 µg/ml) est atteinte en deux heures. La pharmacocinétique est linéaire.
- La terbinafine est fortement liée aux protéines plasmatiques. Cette liaison n'est pas spécifique et non saturable. Moins de 8% du produit présent dans le sang sont retrouvés au niveau des érythrocytes.
- Le produit diffuse rapidement à travers le derme et se concentre dans le stratum corneum. Il diffuse également dans le sébum, et atteint des concentrations élevées dans les follicules pileux, les cheveux et la peau riche en sébum.
- La terbinafine est également présente dans l'ongle dès les premières semaines de traitement. Le produit passe dans le lait.
- Les principales voies de métabolisation du produit sont :
. la N-déalkylation de l'atome d'azote central,
. l'oxydation des groupements méthyle de la chaîne latérale,
. la formation de dihydrodiols via la formation d'un arène oxyde aromatique.
- Les métabolites formés ne possèdent pas d'activité antifongique.
- L'élimination s'effectue en 2 phases, une phase de distribution avec un temps de demi-vie de 4,6 heures et une phase d'élimination avec un temps de demi-vie d'environ 17 heures.
- L'excrétion est essentiellement urinaire (plus de 70% de la dose administrée sont retrouvés dans les urines, principalement sous forme de métabolites).
- La terbinafine est fortement liée aux protéines plasmatiques. Cette liaison n'est pas spécifique et non saturable. Moins de 8% du produit présent dans le sang sont retrouvés au niveau des érythrocytes.
- Le produit diffuse rapidement à travers le derme et se concentre dans le stratum corneum. Il diffuse également dans le sébum, et atteint des concentrations élevées dans les follicules pileux, les cheveux et la peau riche en sébum.
- La terbinafine est également présente dans l'ongle dès les premières semaines de traitement. Le produit passe dans le lait.
- Les principales voies de métabolisation du produit sont :
. la N-déalkylation de l'atome d'azote central,
. l'oxydation des groupements méthyle de la chaîne latérale,
. la formation de dihydrodiols via la formation d'un arène oxyde aromatique.
- Les métabolites formés ne possèdent pas d'activité antifongique.
- L'élimination s'effectue en 2 phases, une phase de distribution avec un temps de demi-vie de 4,6 heures et une phase d'élimination avec un temps de demi-vie d'environ 17 heures.
- L'excrétion est essentiellement urinaire (plus de 70% de la dose administrée sont retrouvés dans les urines, principalement sous forme de métabolites).
Sans objet.
Sans objet.
Pas d'exigences particulières.
Liste II.
Absence d'information dans l'AMM.
28 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).